C’est un atelier national qui regroupe une centaine de participants venus des différentes régions du pays dans la cité des agrumes à kidnia située à 135 kilos de Conakry.

Une initiative de l’UICN avec l’appui de l’agence française du développement.

Objectif, élaborer une hiérarchisation et une évaluation de la biodiversité Guinéenne à l’orée 2030.

Les participants sont venus des départements comme l’agriculture, les mines, l’environnement mais aussi du corps des conservateurs de la nature, de la société civile et des médias.

Prenant la parole, le Représentant de Mme le Gouverneur de la région, souhaitera naturellement la bienvenue aux invités, avant de rappeler la nécessité de protéger notre biodiversité, aujourd’hui menacée par l’homme et dont les conséquences sont notamment le réchauffement climatique qui sévit dans nos pays.

Dans la même lancée, le Directeur régional de l’UICN, rappelera les missions.de l’institution créée en 1948, dont la conservation de la nature, la gestion intégrée et durable des ressources en eau GIRE avant de rappeler les objectifs du dit projet en ces termes ” identification des secteurs clés de la biodiversité, les menaces ainsi que les personnes ressources dans cette préservation”.

Il a ensuite insisté sur le rôle des différents acteurs dans la protection de la riche, diverse biodiversité Guinéenne, mais aujourd’hui menacée tant par les actions anthropiques de l’homme que par des phénomène naturels.

Il est enfin revenu au Colonel Aboubacar Oularé, point focal biodiversité et représentant du Ministre d’Etat Ministre de l’environnement des eaux et forêts, de s’adresser à l’auditoire.
Dans son allocution il a parlé des engagements internationaux de l’Etat Guinéen, en matière de lutte pour la protection de notre environnement. ” Le sujet qui nous réunit ici est d’une importance capitale, car notre pays est l’un des points chauds de la biodiversité marine et terrestre, à cause de la position géographique. Le pays dispose d’une.riche biodiversité basée sur les services écosystèmiques. Nous avons participé à de nombreuses rencontres au niveau internationaux. C’est le cas de la convention sur la biodiversité en 1992, devenant ainsi, le second pays à l’avoir ratifié après élu Seychelles. Nous sommes à une période critique selon les spécialistes. Il est donc temps, grnad temps de prendre des dispositions urgentes afin de protéger nos écosystèmes menaces car entraînant des conséquences énormes pour nous et surtout pour les générations futures”.

Il a enfin terminé son propos, à souhaité l’accompagnent de l’ensemble des acteurs présents à la protection de la biodiversité faunique et floristique Guinéenne et promis que, le Gouvernement mettra tout en œuvre pour la préservation de la biodiversité Guinéenne, tout en saluant les efforts de l’union internationale pour la conservation de la nature, dans cette dynamique.

La journée s’est poursuivie par les travaux de groupes suivis de présentation en plénière, pour l’amendement du document BIODEV2030.

La lecture du rapport final et le mot de clôture du Colonel Aboubacar Oularé point focal, biodiversité ont mis un terme à l’atelier, avec l’espoir pour les participants de voir les recommandations inclues servir à la protection des écosystèmes de notre pays.

Idi CA à kindia pour www.radioenvironementguinee.org

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