Une soixantaine de participants viennent de bénéficier d’un mois de renforcement de capacités, ici à Conakry. Une initiative du dit département, et c’est le cabinet IDECA, institut de développement des compétences en Afrique qui a assuré la dite formation.
” Les techniques de montage de projets, le suivi et évaluation” étaient entre autres thématiques abordées au cours de la formation. Des participants visiblement satisfaits, qui ont dans leurs recommandations, sollicités la poursuite de telles initiatives en faveur de la qualification de l’enseignement technique dans notre pays.
Dans son allocution, le Directeur Général de l’AGUIPE, agence guinéenne pour la promotion de l’emploi, dira que « c’est un projet intégré qui vise la réforme du système de formation professionnelle en Guinée est une priorité de son agence, et peut se targuer de nombreux acquis aujourd’hui, dont, la formation de 90 jeunes au Maroc sur ces sujets ». Sekouba MARA poursuit en disant que « l’AGUIPE poursuivra ces genres d’initiatives à travers des sessions de formations en technique de montage de projets, en leadership et sur les questions de développement en général… ». Avant de est toute une vision que nous avons pour qualifier le système de formation de l’enseignement technique dans notre pays.
Quant au facilitateur de la rencontre, M. Mathieu Fréjus, son propos était accentué sur la reconnaissance des organisateurs quant au choix de son institut, fort aujourd’hui de plus de 25 ans d’expériences sur le continent Africain. Une manière, de rappeler, s’il en besoin, que l’Afrique a bien des compétences qu’elle doit valoriser « sans complexe » dans plusieurs domaines comme « le management, le développement du leadership, l’ingénierie de formation et le système de planification et le suivi, la budgétisation des projets… ».
Au nom des participants, l’orateur a énuméré les différentes recommandations, parmi lesquelles, « s’approprier du contenu de la formation, la poursuite des sessions de formation, démultiplier les connaissances acquises au sein de notre cadre de travail et l’instauration d’un cadre de concertation avec les participants notamment via, les technologies de l’information et de la communication ». Cette formation s’est déroulée dans une parfaite ambiance, le tout dans une parfaite ambiance de cordialité a-t ‘il rajouté.
S’adressant à l’auditoire, le représentant de la BID, banque islamique de développement à la cérémonie, un des partenaires de la Guinée, a rappelé les domaines d’interventions de l’institution en Guinée. Parmi elles, le développement local, l’environnement à savoir l’énergie et l’eau potable en milieu urbain, les infrastructures, la santé et l’éducation pour un portefeuille de plus de 713 millions de dollars.
Quant au facilitateur de la rencontre, M. Mathieu Fréjus, son propos était accentué sur la reconnaissance des organisateurs quant au choix de son institut, fort aujourd’hui de plus de 25 ans d’expériences sur le continent Africain. Une manière, de rappeler, s’il en besoin, que l’Afrique a bien des compétences qu’elle doit valoriser « sans complexe » dans plusieurs domaines comme « le management, le développement du leadership, l’ingénierie de formation et le système de planification et le suivi, la budgétisation des projets… ».
Au nom des participants, l’orateur a énuméré les différentes recommandations, parmi lesquelles, « s’approprier du contenu de la formation, la poursuite des sessions de formation, démultiplier les connaissances acquises au sein de notre cadre de travail et l’instauration d’un cadre de concertation avec les participants notamment via, les technologies de l’information et de la communication ». Cette formation s’est déroulée dans une parfaite ambiance, le tout dans une parfaite ambiance de cordialité a-t ‘il rajouté.
S’adressant à l’auditoire, le représentant de la BID, banque islamique de développement à la cérémonie, un des partenaires de la Guinée, a rappelé les domaines d’interventions de l’institution en Guinée. Parmi elles, le développement local, l’environnement à savoir l’énergie et l’eau potable en milieu urbain, les infrastructures, la santé et l’éducation pour un portefeuille de plus de 713 millions de dollars.
Pour le Secrétaire Général du Ministère de l’enseignement technique, M. GUILAVOGUI, « Nous avons besoin de ce type de formation pour perfectionner nos ressources humaines, et la gouvernance que nous voulons instituer dans nos institutions, ne peut se faire sans le renforcement de capacités sur des thèmes aussi importants que l’ingénierie en formation ». Il faut pérenniser les acquis avec le « professionnalisme et la rigueur dans le montage des projets, ce qui manque souvent dans notre pays il faut oser le dire… », fera remarquer le Secrétaire Général du Ministère de l’Enseignement Technique M. GUILAVOGUI. Il poursuit en mentionnant également la « querelle de leadership, de personne, dans les structures du pays », ce qui ne facilite pas la mise en œuvre des projets en particulier et le développement socio- économique du pays en général pour reprendre ses propos. Pour inverser la tendance, il propose que « des mesures fortes soient prises, parmi lesquelles, les sanctions tant positives que négatives en fonction des actions posées par les auteurs des manquements. Idi CA