A Boké, une préfecture située à 300 kilomètres de Conakry, la réinstallation d’un village Hamdallaye, n’est pas appréciée du centre international pour le commerce et le développement CECIDE, qui accuse la société minière CBG, comagnie des bauxites de Guinée de “non respect” des normes environnementales dans ce dossier.

Voici quelques arguments mis en avant par l’organisation qui oeuvr en faveur des droits des communautés dans les zones minières du pays.

“La réinstallation a soulevé un nombre important de problèmes. Premièrement, les villageois de Hamdallaye ont perdu leurs moyens de subsistance. Les activités génératrices de revenus sont un échec à ce jour et nous n’avons plus rien parce que nous n’avons pas de terres à cultiver. Sans terres cultivables, les activités économiques sont presque inexistant depuis notre déplacement. Les conséquences de la perte de terres et de moyens de subsistance ont été catastrophiques pour les conditions de vie des villageois. La plupart des gens sont à court d’argent. Certains ont été réduits à partir pour les villages environnants comme Tinguilinta, Balandougou, Boundou Lengué ou vers la frontière avec la Guinée Bissau pour faire du charbon. Le village est de plus en plus déserté par ses habitants qui travaillent de plus en plus comme ouvriers agricoles avec les voisins…”

Nous vous proposons à propos le rapport y afférent.

Rapport réinstallation Hamdallaye CECIDE

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