Développement durable : Comment choisir son option pour être compétitif sur le marché de l’emploi ?
Le sujet est en discussion depuis ce mercredi matin au centre culturel franco guinéen ”espace Feu Sory Kandia KOUYATÉ”.
Ces travaux du ”forum de l’orientation, de l’emploi et de l’employabilite des jeunes”, d’inscrit dans le cadre de l’aide des étudiants et futurs étudiants dans le choix des options dans les institutions d’enseignement supérieur en Guinée et en France.
Une initiative de l’Ambassade de France en Guinée à travers l’Institut Français, l’Agence Universitaire de la Francophonie AUF, le projet BOCEJ ” booster les compétenc pour l’employabilite des jeunes”, et d’autres partenaires à l’image du Ministère de la Jeunesse et de l’emploi des Jeunes.
Plus d’une centaine d’ étudiants y étaient mobilisés pour la circonstance, en présence de plusieurs invités, dont des chercheurs, enseignants et acteurs de la société civile.
Dans son allocution, l’ambassadeur de Franc M.Grogurins, rappellera que 450 jeunes Guinéens sont reçus tous les ans dans les universités françaises, avec des montants ”raisonnables comparés à d’autres Universités Américaines et Anglaises”.
Il poursuit en disant que ”les étudiants guinéens ont pour la plupart un faible niveau et réussissent difficilement le cursus universitaire, ce qui est regrettable. Il a terminé son propos en rassurant la Guinée, de l’intention de l’hexagone à toujours continuer à appuyer l’Etat Guinéen dans cette perspective.
Poursuivant, il est revenu à la Cheffe de Cabinet du Ministère de la Jeunesse et de l’emploi Jeunes, Ramatoulaye CAMARA d’apprécier l’initiative qui ”s’inscrit dans les priorités de mon département, sous l’impulsion du Chef de l’État, le Président Alpha CONDÉ.
Elle a aussi encouragé les jeunes à partir étudier mais surtout à revenir mettre ces compétences au service de la Guinée, qui en a tant besoin.
Un point de vue soutenu par me Responsable du projet ”booster les compétences pour l’employabilite des jeunes” BOCEJ, Thierno Illassou DIALLO, de partager son expérience à travers son parcours en Guinée, au Maroc et en France avant de venir servir dans son pays. Ce qu’il souhaite pour les jeunes qui partent étudier à l’étranger. Pour lui, ”partir n’est pas mauvais en soi, mais partir étudier et revenir servir son pays, est ce que chaque jeune ici présent doit avoir à l’esprit…”.
Quant aux étudiants intérrigés à l’image de Aissata KEITA et Aliou DIALLO, ils comptent suivre les travaux avec assiduité en vue d’un meilleur choix d’option à l’université, et revenir servir leur pays s’ils ont la chance d’aller à l’étranger.
Idi CA