À l’instar de nombreux pays africains, la Guinée reconnaît l’importance cruciale des écosystèmes dans le développement économique et social, et a ainsi sollicité l’expertise technique et financière de la Banque Mondiale pour élaborer des comptes écosystémiques du capital naturel.
C’est dans cette optique que le Ministère de l’Environnement et du Développement Durable (MEDD) en partenariat avec la Banque Mondiale a lancé hier vendredi 8 août, les activités du projet de <>. C’est une initiative qui vise à renforcer la gestion durable des ressources naturelles dans un contexte de dégradation environnementale croissante.
L’atelier technique s’est tenu au sein du MEDD, rassemblant des participants représentants de l’administration publique, du secteur privé, ainsi que des organisations non gouvernementales (ONG). C’est le Secrétaire Général du département qui a présidé la cérémonie, soulignant l’importance d’une collaboration intersectorielle pour la réussite de ce projet.
<>. Mohamed Alas Sylla Directeur Général du CNSOE.
Les objectifs de l’atelier sont multiples et visent à assurer une approche cohérente et efficace pour la gestion du capital naturel de notre pays.
Ce projet représente un pas significatif vers l’intégration de la biodiversité et des services écosystémiques dans les politiques de développement local, tout en participant à la lutte contre les effets du changement climatique.

<>. M Jean Abdoulaye expert, consultant recruté par la Banque Mondiale.
Il faut rappeler que ce projet fait suite à la requête de la République de Guinée à la Banque Mondiale a mobilisé un consortium composé de Anchor Environmental, IGNFi et ONFi pour accompagner les équipes guinéennes dans le processus de développement des Comptes nationaux sur les forêts.

Myra BAH pour Radio Environnement

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